Quand la vie vous la dérègle au quart de tour
avoir cette envie de partir en quête de soi
de se revivre loin
dans toutes les profondeurs du monde
peut-être même dans les forêts de Sibérie…
» Je suis parti parce que la vie m’étouffait comme le col d’une chemise trop serré.
Je suis parti parce que le bruit du monde m’assourdissait et j’étais étourdi de n’avoir plus de temps.
Je voulais vivre de la lenteur, de la simplicité et de l’émerveillement.
Ne garder que l’essentiel.
Or, on ne peut pas garder l’essentiel; on le découvre. »
Dans les forêts de Sibérie
un grand film de Safy Nebbou
une sensible musique de Ibrahim Maalouf
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