Tu me serais venu
attifé de ce que tu aurais tu
nu silence
dépouillé
ton regard
seul
sur moi
que tu
que je
que nous
que j’aurais fréquenté la démesure
que je connais démesurément
depuis
que nous
que tu
que je
de mes âmes
amoure
tes touts
tes néants
tes nudités
tes natures
tes ratures
tes peaux
tes êtres
tes entièretés
entièrement
ces géants de toi
en moi
en moi
la poussière
les marques
du temps
passé
hors toi