dans la largitude des ses bras découverts
j’ai agrippé l’ampleur de la forêt
sa pudeur sans retenue
tout l’automne coule en moi
de là je suis d’ocre
rien n’invente les courants
mon corridor
31 octobre 2022 par muguetdemai
dans la largitude des ses bras découverts
j’ai agrippé l’ampleur de la forêt
sa pudeur sans retenue
tout l’automne coule en moi
rien n’invente les courants
mon corridor
Publié dans Poésie | Tagué Poème, Poésie | 8 commentaires
Sublime!
Merci tout grand Filipa!
tout beau…
merci Diane !
Tout gentil!
Merci à toi Francine!
Superbe, j’ai envie de l’étreindre moi cette forêt…
Merci beaucoup Barbara!
Et pour l’étreinte, va!
J’en suis certaine, elle en serait ravie.
et moi donc…
Je t’embrasse Diane…
Bises envolées vers toi, Barbara!